19h30, la synchro est on ne peut plus parfaite : on donne nos tickets, on passe au vestiaire déposer nos affaires chaudes (on n'en aura pas vraiment besoin pour la soirée), on se prend deux bières, et on est à peine dans la fosse que les lumières s'éteignent...
Et on démarre avec Louis the Fourteenth... Un groupe qui ressemble typiquement à G&TT, par leurs costumes, leurs instruments, mais surtout par leur style musical. Les voir en live n'a rien à voir avec les chansons des albums que j'avais écouté auparavant. C'est un super petit groupe, qui n'aura malheureusement joué qu'une petite demi-heure, le temps de se faire de nouveaux fans, et de ravir ceux qui connaissaient déjà.
Frolic revient de la pause avec des posters et des stickers. Et les Hot Hot Heat prennent la relève. Le chanteur va mettre le feu, parle et joue avec le public, soulève son piano sur scène, c'est trop fort. La salle est plutôt bien remplie, et je me rends compte qu'elle est vraiment bien conçue : un balcon au dessus de nos têtes, une grande fosse, le tout permettant d'accueillir environ 500 personnes. Les Hot Hot Heat on fait une grosse performance, et à voir comment ils sont sortis de scène, en jetant les guitares dans les mains du staff, ils avaient l'air bien contents d'eux.
Puis viens enfin le moment de la tête d'affiche : Editors. Leur nouveau single m'avait accroché à la radio pendant les vacances en France. Cette partie du concert était terrible. Le groupe était déjà passé au festival Osheaga mais je n'avais pas retenu leur nom. Ils ont joué tous leurs tubes, et le chanteur, guitariste, pianiste (on sent là encore la polyvalence de G&TT) était comme un fou.
Il sautait partout, on aurait dit qu'il avait mis ses doigts dans une prise électrique avant de monter sur scène... Il est grimpé sur son piano, jouait de la guitare dessus etc. Les passages mélodieux au piano déchainaient la salle, avant de reprendre sur un rythme éfreiné.
Le batteur... Ah la la, quel batteur... Impressionant !! Durant plus d'une heure il s'est défoulé sur ses caisses, ses timbales, enchainait les changements de rythmes, on voyait vraiment qu'il était à fond. C'était Enorme !
L'ambiance était au rendez-vous, le public n'avait pas à attendre de signe des artistes pour taper dans ses mains. Au moment du rappel, en voyant l'enthousiasme de la foule, le groupe n'a pas mis longtemps à revenir sur scène... avec un magnifique smokers out (ma préférée...) Bref, une super soirée ! Merci de l'info frolic...
Et on démarre avec Louis the Fourteenth... Un groupe qui ressemble typiquement à G&TT, par leurs costumes, leurs instruments, mais surtout par leur style musical. Les voir en live n'a rien à voir avec les chansons des albums que j'avais écouté auparavant. C'est un super petit groupe, qui n'aura malheureusement joué qu'une petite demi-heure, le temps de se faire de nouveaux fans, et de ravir ceux qui connaissaient déjà.
Frolic revient de la pause avec des posters et des stickers. Et les Hot Hot Heat prennent la relève. Le chanteur va mettre le feu, parle et joue avec le public, soulève son piano sur scène, c'est trop fort. La salle est plutôt bien remplie, et je me rends compte qu'elle est vraiment bien conçue : un balcon au dessus de nos têtes, une grande fosse, le tout permettant d'accueillir environ 500 personnes. Les Hot Hot Heat on fait une grosse performance, et à voir comment ils sont sortis de scène, en jetant les guitares dans les mains du staff, ils avaient l'air bien contents d'eux.
Puis viens enfin le moment de la tête d'affiche : Editors. Leur nouveau single m'avait accroché à la radio pendant les vacances en France. Cette partie du concert était terrible. Le groupe était déjà passé au festival Osheaga mais je n'avais pas retenu leur nom. Ils ont joué tous leurs tubes, et le chanteur, guitariste, pianiste (on sent là encore la polyvalence de G&TT) était comme un fou.
Il sautait partout, on aurait dit qu'il avait mis ses doigts dans une prise électrique avant de monter sur scène... Il est grimpé sur son piano, jouait de la guitare dessus etc. Les passages mélodieux au piano déchainaient la salle, avant de reprendre sur un rythme éfreiné.
Le batteur... Ah la la, quel batteur... Impressionant !! Durant plus d'une heure il s'est défoulé sur ses caisses, ses timbales, enchainait les changements de rythmes, on voyait vraiment qu'il était à fond. C'était Enorme !
L'ambiance était au rendez-vous, le public n'avait pas à attendre de signe des artistes pour taper dans ses mains. Au moment du rappel, en voyant l'enthousiasme de la foule, le groupe n'a pas mis longtemps à revenir sur scène... avec un magnifique smokers out (ma préférée...) Bref, une super soirée ! Merci de l'info frolic...
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