Team Montréal: Premieres visites

16h, youpi, j’arrive enfin à l’aéroport. La douanière qui m’interroge me demande « vous etes bien sur de ne pas avoir de nourriture, saucisson, fromage… ? » Naaan, comme si j’étais du genre a emporter des provisions. Apparemment, je l’ai convaincue et je suis passé sans avoir à ouvrir mes sacs. (au passage je précise qu’il a fallu attendre 45minutes avant qu’ils n’arrivent sur le tapis).

Allez, zou, en route pour le centre ville. C’est pas compliqué, il y a des milliers de taxis qui n’attendent que ça. Le chauffeur a un accent de malade, je comprends pas tout ce qu’il me raconte sur ses shortcuts pour faire plaisir aux clients, et j’ai carrément l’impression qu’il parle une autre langue ! Ca promet…

Julie m’attendait juste devant l’immeuble, ça c’est cool. Pour un premier soir sur le continent Américain, on a fait les choses comme il faut : un coup de bigo chez pizzahut et vive les pizzas king size ! Ca fait 40h que j’ai pas dormi, donc je suis claqué. Avec le décalage horaire en plus, c’est terrible. Case Gros dodo.

Le lendemain, Julie bosse, donc je pars seul en ville pour la découvrir. En un mot : C’est immense. Et puis une chose qui frappe, c’est que ça parle english dans tous les sens. Cool, je vais pouvoir progresser (en plus, la majorité des chaînes tv chez julie sont en américain). Mais j’ai toujours un peu de mal avec l’accent tarbernacle, et j’ai envie de rigoler de temps a autres quand je les entends. Self control. J’achète un téléphone, et j’entame la longue série des coups de fil pour visiter les appart.

Puis jusqu'à la fin de la semaine, j’ai continué ma petite visite, et la ville est superbe.